vendredi 18 mars 2011
Le transport en ville
Militons pour un transport publique écologique et gratuit, et pour l'interdition des voitures en ville.
Capitalisme : ange ou demon ?
Les définitions du capitalisme nous renvoient toujours à une idée général : le capitalisme est un système économique et social basé dans la propriété privé des moyens de production et sur la recherche du profit. D’un point de vue social c’est un système basé sur l’individu que permet la concentration de capital (richesses) et que produit le phénomène de clases sociales. Apparu au XIII siècle au sein de la bourgeoisie libre des villes médiévales, il s’est développé dans le XVIII siècle grâce aux innovations techniques donnant naissance à la grande industrie.
Comment sa définition indique, le capitalisme est au même temps un système économique et un système social, c'est-à-dire que structure la société. Cette essaie se veut interpréter dans une optique éthico-sociale le capitalisme.
Face au rêve, au marketing et au progrès que représente le système capitaliste, existe une autre réalité. Dans le pays développés le système capitaliste creuse des inégalités. Les personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté représentant entre le 10% et 20% de la population. La clase moyenne majoritaire, est à la merci des marches financières. Si le progrès a amélioré le confort de vie des personnes, la société elle souffre des nouveaux problèmes propres au capitalisme: le stress, les conditions de travail, la déshumanisation des villes. Pour quoi le capitalisme a-t-il triomphé? Est-il un modèle sociale désirable ?
1. Le capitalisme est un système qui a pour raison d’être la ressemblance avec la psychologie humaine.
2. Le capitalisme dépourvu d’étique représente une menace pour la cohésion sociale et a besoin d’être encadré pour que l’homme puisse tisser des liens sociaux.
1. Capitalisme, Pourquoi a-t-il triomphé ?
Origines dans la psychologie humaine
Origines dans la psychologie humaine
Le capitalisme, loin d’être une idéologie appliquée, a toujours existé comme une caractéristique propre a toute forme de civilisation, le troc est la forme plus primitive. Il s’est consolidé comme système après le féodalisme au XIII siècle, avec le développement du commerce et l’apparition de la figure de l’entrepreneur. Mais ce n’est qu’après la révolution industrielle du XVIII qui a réellement transformé les sociétés.
Selon Max Weber le capitalisme doit sa réussite à
mercredi 16 mars 2011
Valeur et monnaie
La monnaie est considérée généralement comme un moyen d'échange, quelque chose d'utile qui permet d'effectuer des transactions. Les économistes soulignent les difficultés à organiser une économie d'échanges sur la base du troc et justifient l'apparition des monnaies comme l'innovation permettant enfin aux activités de commerce de se développer.
Pourtant, l'histoire montre combien le développement de la monnaie a tenu à des causes autres que purement économiques (1). Ainsi, de nombreuses civilisations ont promulgué des lois réclamant le versement de compensations lors de jugements d'actes de violence. Le mot "payer" lui-même vient du latin pacare, qui signifiait
mardi 15 mars 2011
La valeur et le travail
Au commencement , l'homme a commencé à travailler pour satisffaire ses besoins primaires. Puis ils s'est organisé avec les autres hommes de sont groupe pour atteindre des objetifs communs et de plus en plus plus ambitieux. Jusqu'a l'essor du capitalisme, chaque travail avait une valeur et rapporté des résultats quantifiables et proportionelles aux travailleurs.
C'est à partir de l'industrialisation (s.XIX) que le travailleur a perdu son identité humaine et participante et a devenu un instrument de production, tell qu'une machine. "Les ressources humaines", est l'expression et le mecanisme que define le problème. Parceque le salarié et quatifié, exploté et distribué, sur la loguique des chiffres. Le caractère humain participant et reflexi des persones est negligé. La crisis sociale de nos sociétés modernes est bien plus grave que l'économique. Comme laisse voir un sondage dans lequelle les pays plus pauvres apparaisent en tête des pays ou les gens sont plus hereux. Les facteurs déterminants pour le bonheur semblent être la socialisation, l'adaptation, mais surtout la culture.
Dans les sociétés modernes le travail est souvent le seul lien social (durkeim). Le travail efface les trait de sociabilisation spécificités des personnes, comme la langue ( el anglais s'impose), les coutumes ( travail nocturnes, jours feries, siesta), les modes vestimentaires, les métiers artesans,...etc
C'est à partir de l'industrialisation (s.XIX) que le travailleur a perdu son identité humaine et participante et a devenu un instrument de production, tell qu'une machine. "Les ressources humaines", est l'expression et le mecanisme que define le problème. Parceque le salarié et quatifié, exploté et distribué, sur la loguique des chiffres. Le caractère humain participant et reflexi des persones est negligé. La crisis sociale de nos sociétés modernes est bien plus grave que l'économique. Comme laisse voir un sondage dans lequelle les pays plus pauvres apparaisent en tête des pays ou les gens sont plus hereux. Les facteurs déterminants pour le bonheur semblent être la socialisation, l'adaptation, mais surtout la culture.
Dans les sociétés modernes le travail est souvent le seul lien social (durkeim). Le travail efface les trait de sociabilisation spécificités des personnes, comme la langue ( el anglais s'impose), les coutumes ( travail nocturnes, jours feries, siesta), les modes vestimentaires, les métiers artesans,...etc
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